La femme ovale jure à l’envers
Que contre moi elle récupère,
Des pics, des os, des ricanements,
Des traces de mots, des astres lents
Qui la déclinent en dépotoir
Qui nous assignent au bord du noir
Quand je destine mes collisions
À d’éphémères infiltrations
Vois comme je dérive le long de ses pentes
Perdue éperdue aux creux mon absente
Vois comme je scintille du haut de ses hanches
Étranglée, étranglée, mes laideurs amantes
La femme ovale est mon obscure,
Ricochet d’abandon, gouffre d’azur
La femme ovale saccage nos leurres,
Dans sa riposte sans chaleur
Qui la déclinent en dépotoir
Qui nous assignent au bord du noir
Quand je destine mes collisions
À d’éphémères infiltrations
Vois comme je dérive le long de ses pentes
Perdue éperdue aux creux mon absente
Vois comme je scintille du haut de ses hanches
Étranglée, étranglée, mes laideurs amantes
Vois comme je dérive le long de ses pentes
Perdue éperdue aux creux mon absente
Vois comme je scintille du haut de ses hanches
Étranglée, étranglée, mêlée d’heures aimantes
La femme ovale jure à l’envers
Que contre moi elle récupère,
Des pics, des mots, des morts, des traces,
De nageoires en trépas, désastre.